High On Wheels Fuzzmovies Guitar Part
High On Wheels Fuzzmovies Guitar Part
High On Wheels Fuzzmovies MyRock
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Fuzzmovis dans Guitar Part:

« Pour son deuxième album, High On Wheels a décidé de s’envoyer en l’air à grands coups de riffs gras accompagnés de vieux films de série Z. »

Créé en 2014, High On Wheels a d’abord cherché le bon équipage pendant une paire d’années pour ensuite enregistrer un premier albim « Astronauts Follow Me Down ».

Le trio parisien récidive aujourd’hui avec une deuxième épisode, toujours tourné vers l’espace, mélange de stoner et de desert rock venu d’un autre temps. Mais « Fuzzmovies » n’est pas qu’une simple ode à l’infiniment grand. Ce nouveau disque montre aussi l’amour des protagonistes pour les films de série Z et la fuzz. « L’esapce, c’est l’expression de la liberté avec sa somme de mondes inexplorés, ces distances inconcevables. Ca laisse l’imagination libre de toutes limites. Les séries Z sont aussi un clin d’oeil à la liberté. Nous faisons notre musique commebon nous semble. Ce qui compte c’est juste l’expression pure de nos tripes. Et quoi de mieux que le gras de la fuzz pour exprimer ce qu’on a dans le ventre ? »

Cette liberté, que les trois musiciens revendiquent, se retrouve également dans leur manière de composer. « L’un de nous amèhne une idée, elle peut être déjà bien strucutrée… ou pas. Dans tous les cas, ça passe à la moulinette de la jam de l’espace, une étape essentielle pour saisr ce qui nous fait vibrer ou pas. »

L’esapce, encore et toujours bien présent, jusqu’aux visuels du groupe. « L’artwork est souvent le premier contact qu’on a avec l’univers d’un groupe, c’est très important, notamment pour une bonne partie de la scène stoner, grande amatrice de visuels qui tabassent ! »

Pour mener à bien leur mission, forcément compromise par la crise sanitaire, High On Wheels est passé par la case financement participatif, une étape quasi obligée aujourd’hui. « Réaliser un album, c’est un sacré investissement, notamment pour  le sortir en vinyle. Financer le pressage en amont par les fans fut un gros plus. Mais c’est plus le fait d’avoir signé avec un label comme Klonosphere qui nous a fait progresser et franchir ce fameux cap. La preuve, on parle de nous dans Guitar Part maintenant. »

Dossier de presse consultable en ligne et également téléchargeable ici

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